M
C'est simple comme moi...
(un graphisme que j'ai fait spécialement pour le vagabond et pour UNDUSTRES)
L'AMOUR DIVIN
Ni barrières, ni artifices
Tel est l'amour vrai
Il n'a que faire des masques
Tel tu es, ainsi il te veut !
Dans La peine, dans la joie
Simplement t'accompagner
Tel est son désir
Aimer c'est encourager !
Un regard qui nous couvre
Nous enveloppe, nous protège
Des coups et des blessures
Que ce monde infligent !
Un asile, un refuge
Loin des querelles externes
Et des luttes internes
L'amour comme un nid !
Il ne juge pas
Il se sait moins meilleurs
Il n'opprime point
L'amour est liberté !
Comme un stimulant
Un courant d'énergie
Ainsi est l'amour
Lorsqu'il vient de Dieu !
(texte qui m'a été envoyé par un internaute)
commentaires
DATE: 12/01/2005 23:59:46 Ta douce bergère te donne un baiser, elle va se coucher. Tendresses à toi
DATE: 12/02/2005 00:19:34 Bonne journée demain je serai absente ce week-end si tout va bien
DATE: 12/02/2005 00:20:21 Que Dieu te garde, Vagabond
DATE: 12/02/2005 11:06:08 Bonjour , merci de tes baisers mails trouvés au matin les rêves ont leur propre vie qui sait où ils vont et ce qu'ils deviennent lorsque nous vivons avec joie avec peine nos quotidiens réels combats
DATE: 12/02/2005 11:07:54 je t'embrasse aussi plus dans la vérité que dans le rêve que la force de mon amitié t'atteigne aussi dans ta réelle vie
DATE: 12/02/2005 12:09:22 Il y a un temps pour tout! un temps pour hurler avec les loups ou les louves... et un temps pour se poser ça dépend comment et avec qui on veut alterner ça dépend ce qu'on a vécu et qui on es
DATE: 12/02/2005 12:11:03 Même si je ne rajoute pas une seule note à ce blog pour le moment car ma vie est ailleurs tu sais que si je ne peux t'écrire c'est là que je viendrai te répondre. Bonne journée et tendresse
DATE: 12/02/2005 13:00:11 J'ai fait un cauchemar je t'envoyais des mails, ils n'arrivaient presque jamais. Je me suis réveillée, ce n'était pas un cauchemar, mais la réalité!
DATE: 12/02/2005 13:02:28 Oui, c'est très bizarre ces mail qui arrivent ou qui n'arrive pas... je ne sais que te dire. Je n'ai pas de problèmes de réception pourtant... Oui, dur semaine je suis content qu'elle finisse. Je vais essayer de souffler demain. De me recentrer et de me récuperer un peu. Peut-être que j'écrirais. Mais c'est sûr encore. Si j'ai bien compris tu ne repassera que lundi... si c'est le cas je te souhaite un bon WE, beaucoup de rempos pour toi aussi... et de la tendresse de tes proches. Je t'envois la mienne. Mais la sur ton coeur. Là où on l'entend battre. Je t'embrasse Douce et tendre bergère. Je suis désolé, de t'écrire aussi vite. Mais il faut que je reprenne mon boulot. Mille baisers, mille tendresse
DATE: 12/02/2005 13:37:36 Reprends, reprends c'est comme ça que je t'aime compressé, over dépassé, speed aussi! je t'embrasse guimauve et harissa!
DATE: 12/02/2005 13:39:54 et tendresse, ineffable tendresse sur le bord des lèvres au plus profond du coeur sur le bout des doigts j'l'ai au bout de la langue! allez, on peut bien plaisanter là avant de le vivre ce week-end!
DATE: 12/02/2005 20:22:03 Je viens de rentrer. Alors je te laisse ici des baisers, pour que tu les prennent, que tu les mettes au chaud de ton coeur. que tu en couvre ton corps. Tu les posera où tu veux, sur les endroits de ta peau que tu choisiras. Je crois que je vais me reposer ce WE. Je veillerais sous la tente. J'attendrais ton retour. Tu as laissé du thé, et des braise sur le feu. Il y a encore de l'huile dans la lampe. Tout va bien. Ton âme est là, sous la tente. Je l'entend, je la respire. Tu sais les âmes ont une odeur. Elles se respirent comme les fleurs. C'est pour cela qu'il faut les protéger, parce qu'elle se fannent aussi, comme les fleurs. J'ai ton voile, avec moi. J'ai ton image. Et partant, tu laissé une écharpe. Je viens de la mettre autour de mon cou. Pour que tu me tienne chaud. Le thé est prèt. Et la première gorgée me brûle. Je suis toujours trop pressé. Où es tu ma douce, ma belle ? Dans qu'elle montagne encore coures-tu, où t'emmenent tes brebis, toi la chanteuse, toi la dansseuse. Toi qui est faite pour jouer avec les ombres et la lumière, toi qui es faite, pour rendre jaloux les anges. Tu es si loin. Et je suis là qui t'attends. J'apprend la patience, j'apprends TA patience, dans le vide que tu laises je découvre plus qu'un pays, je trouve un chemin. dans ta voix qui s'absente, je réinvente le chant. Dans ton corps qui me manque, j'invente des prière. Où es-tu ma douce, ma belle, ma tendres. Dans les braises rouge je crois voir tes yeux. Tu hante ce lieux et c'est doux d'être là. Je me coucherais sous la peau de mouton. Avec ton écharpe nouée autour du coup, et j'attendrais ta visite, celle que tu me fais la nuit. Celle que je peux pas te raconter. Parce que tu rougierais. Chut !!! je n'en dis pas plus. Je connais tout ton corps, mieux que tu ne connais le mien. Je connais ses vallons, ses plaines, ses sources secretes, ses forêts, oui, je connais tout les itinéraires, par ce que mes rêves sont infinis. Parce que ton corps est sans fin. Va ma belle, et revient. Va et rapporte-moi une fleur, ou un chant, ou un morceau d'étoile, ou simplement un baiser. Ou pourquoi pas un sourire. J'aime quand tu souris. Quand tu fais des blagues. J'aime aussi quand tu me chahute. Va, et revient moi, ma douce et belle bergère. Je t'embrasse, de toute ma tendresse. Va et reviens.
DATE: 12/04/2005 22:06:28 J'ai pris tous tes baisers, chauds, passionnés. J'en ai fait trois parts, l'une pour cette nuit de samedi, l'une pour le matin de dimanche et la troisième pour la soirée de dimanche. Je les ai déposés sur mes joues, et sur mes mains. Toujours trop pressé! certes, tu sens mon âme, mais tu ne me vois pas rentrer tout doucement lorsque tes yeux trop lourds se sont fermés. J'ai remis des bûches dans le foyer, tisonné la grille, le tirage n'est pas bon, le tuyau du poële est trop court, et il fait trop doux, le temps tourne à la pluie. J'ai rajouté de l'huile dans le caleilh, j'ai passé ma main sur ton front pour effacer tes souvenirs, surtout les plus pénibles, j'ai soufflé sur tes yeux pour que tu fasses les plus doux rêves. J'ai hanté ce lieu, oui, dans les braises, ma flamme, ma forte amitié pour toi, ma volonté farouche et solide comme le roc! Tu rêvais de moi, oui je t'ai vu, entendu, surpris, mais tu n'en as rien su. J'ai souri, j'ai tremblé, j'ai pleuré, et puis je suis sortie, seule dans la nuit, les épaules nues, j'ai marché sous étoiles, seule, Afa est resté à la bergerie. J'ai parlé à mon Dieu: "Toi qui es l'ami des hommes, toi qui t'es incarné en frère universel, en ami le plus fidèle et sincère, Explique-lui, moi je ne peux pas, moi, je n'ai pas toujours les mots qu'il faut. Explique-lui que la tendre amitié de sa bergère est celle d'une âme. Bien sûr une âme incarnée, qui aime à partager chants, danses, rires et palabres, galette, thé, temps sans compter! Qu'est-ce qu'une amitié où l'on ne partagerait rien? Un vague souvenir de ce qui fut et n'a jamais été? Explique lui que s'il peut se reposer sous cette tente, c'est parce qu'elle est remplie de Ta Présence et que je vis en Ta Présence, alors c'est ainsi qu'il peut me rencontrer. Explique-lui que je ne rougis pas de ce que je lui ai offert de moi et qui peut le faire rêver. Explique-lui que je le comprends. Explique-lui que je ne méprise pas l'objet de ses fantasmes et de ses rêveries. Explique-lui que je ne souhaite cependant pas sans cesse déployer mes frontières, et barbelés, que je préfère être accueil plutôt que bastion fortifié. Rappelle-lui les limites et les conditions de notre amitié. Montre-lui la différence entre hospitalité orientale et licence ou faiblesse. Dévoile-lui l'étendue de ma patience, de ma générosité et de ma mansuétude." Et Il me répondit: "Va, retourne, et dis-lui de relire ce que tu as laissé pour cette note, je ne peux mieux lui expliquer comment tu l'aimes et veux l'aimer! comment je l'aime et veux l'aimer"
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